accéder à l’étude sur le territoire champardennais
accéder à l’étude sur le territoire lorrain
accéder à l’étude sur le territoire alsacien (à venir)
© Région Grand Est – Inventaire général
La recherche toujours en cours s’attache à prendre compte l’intégration de ce patrimoine dans le paysage bâti, les références stylistique (orientalisme, néo-classicisme…), la diversité des édifices (école, synagogue, bains rituels, cimetières …), l’identification des influences culturelles (askhénase, sépharade, polonaise…), l’organisation de l’espace à l’intérieur de la synagogue (arche sainte, vestibule, tribune …), les usages et les objets de la synagogue et de la vie domestique y compris le patrimoine écrit.
De 1964 à 2006, le patrimoine juif a été pris en compte dans le cadre des opérations topographiques sans recherche spécifique. Le mobilier n’a généralement ni été recherché ni étudié. A partir de 2004, s’est posée en Lorraine la question du devenir des synagogues en cours de désaffectation, tant de l’édifice lui-même que des objets qui y étaient conservés.
L’étude « patrimoine juif » a été ouverte en 2006 en Lorraine puis étendue en Champagne et en Alsace en 2016. L’accent a été mis sur le patrimoine qui courait le plus de risque de disparition : les objets et en particulier les mappoth et les livres mais aussi les synagogues désaffectées. Quelques cimetières ont été traités : Frauenberg ou Fergersheim par exemple.
La recherche toujours en cours s’attache à prendre compte l’intégration de ce patrimoine dans le paysage bâti, les références stylistique (orientalisme, néo-classicisme …), la diversité des édifices (école, synagogue, bains rituels, cimetières …), l’identification des influences culturelles (askhénase, sépharade, polonaise…), l’organisation de l’espace à l’intérieur de la synagogue (arche sainte, vestibule, tribune …), les usages et les objets de la synagogue et de la vie domestique y compris le patrimoine écrit.